Chaque année, des dizaines de jeunes africains quittent leur pays pour venir tenter leur chance en Belgique.
Beaucoup meurent dans diverses circonstances : noyades, homicides, étouffement, maladies,…
Récemment, un rapport indépendant attirait à nouveau l’attention sur ces drames de la misère.
J’ai insisté auprès du ministre président Rudi DEMOTTE afin que la fédération Wallonie Bruxelles intègre ce problème dans le travail bilatéral qu’elle mène, particulièrement avec le Sénégal, qui est un de nos partenaires privilégiés et qui reste le point de départ de l’immigration clandestine vers l’archipel canarien.
Le ministre président a répondu à ma question écrite en précisant que, même si la problématique de l’immigration et de l’accès au territoire reste une compétence fédérale, la fédération Wallonie Bruxelles agit de façon préventive en essayant de lutter contre la pauvreté sur place.
Je pense que nous ne pouvons pas rester insensible à cette situation dramatique. Nous ne pouvons pas envisager un avenir sérieux en construisant des murs de la honte, comme le mur que construit l’Union européenne au sud de la frontière espagnole.
C’est un sujet de travail important et je reviendrai sur ce point lorsque nous discuterons au parlement de la note de politique internationale que doit nous présenter le gouvernement, afin que cette problématique soit inscrite dans les actions de nos services actifs dans les relations internationales.
Je vous encourage dans cette initiative. Que n’entendons nous pas comme absurdité autour de nous.
il serrait peut etre bien de montrer les sans abrits (etrangers et belges)et leurs difficultés de survivre en belgique et en europe en genéral ,aux habitant des pays (chaud ) pour qu’ils reflechissent avant de venir et aussi de couper les possibiliter au depart et ainsi eviter les expultions,sans papier pas de depart ,et arreter d’expulser des perconnes qui sont ici depuis plusieures années parfois,que les divers services ne dise pas qu’ils ne sont pas au courant de leurs présancess,puisque les service de police fond regulierement des passages pour verifier les habitant de leur quartier