Comment expliquer que le sommet de Copenhague reçoive une telle exposition médiatique, alors que le sommet de Rome sur la sécurité alimentaire a été presque ignoré ?
Pourtant, si l’urgence est climatique, l’urgence IMMEDIATE est alimentaire : un enfant meurt de faim toutes les 6 secondes !
Quand on voit la place donnée aux avis des « experts », ne doit-on pas se poser quelques questions sur le suffrage universel ?
Jusqu’où les élus doivent-ils démissionner de leurs responsabilités ?
Quelques réflexions à partager et à enrichir de vos remarques et de vos critiques…
Téléchargez : Copenhague et si les experts se trompaient
Bonjour Marc,
Et si, comme bon nombre de scientifiques le pensent, la partie la plus importante du réchauffement climatique était due à une augmentation de l’activité du soleil ?
L’effet de serre ne viendrait alors qu’empirer les choses.
Il n’empêche qu’il faut économiser l’énergie pour la simple raison qu’elle va devenir rare et précieuse.
Eléments de réflexions :
– les études montrent que l’activité du soleil augmente régulièrement depuis plusieurs dizaines d’années.
– toutes les planètes du système solaire se réchauffent, généralement plus vite que la terre. Par exemple, la planète Mars se réchauffe 2,5 fois plus vite que la terre.
– les climatologues ont pu démontrer que l’histoire de notre planète n’est qu’une succession de refroidissements et de réchauffements.
– Ne serions-nous pas manipulés ?
– une piste pour aller plus loin dans la réflexion : se renseigner sur les origines de la fortune d’Al Gore.
– les grandes gagnantes seront les grandes banques américaines qui vont organiser la perception et la vente des taxes carbone (des milliers de milliards de dollars).
Allez, bonne nuit bonnes gens, tout va bien, les maîtres du monde (de la finance) veillent sur vous.
Amitiés
André Ligot
André, je suis en effet très perplexe sur le matraquage média dont nous avons été victimes . Comme j’ai essayé de l’exprimer, je crois d’abord que vis à vis des « experts » nous devons garder tout notre esprit critique… L’état actuel des systèmes mondiaux de gestion de l’information doit nous inciter à la plus grande prudence.
Bien à toi,
Marc Bolland