Depuis quelques mois, il n’est plus tabou de manifester contre le droit à l’avortement.
Où sommes-nous ? Dans quel pays vivons-nous ? Dans quelle époque vivons-nous ?
Comment peut-on oser mettre en cause un des droits les plus fondamentaux acquis par les femmes, à savoir le droit de disposer de leur corps ?
Et bien oui, aujourd’hui, il y a encore des mouvements, des gens, des personnes qui osent considérer que la femme est là pour faire des enfants et que, même si c’est son corps, sa vie, la qualité de vie de son enfant qui sont en cause, elle n’a pas le droit de choisir.
Evidemment, personne ne recommande ou pire, n’impose l’avortement. Un avortement est toujours un choix douloureux, difficile.
Mais tout de même, comment vouloir en revenir des décennies en arrière, en imposant aux femmes de se soumettre aux lois inhumaines de la nature ? Comment leur imposer de revenir à l’époque des avortements clandestins, criminels et cruels ?
De toutes nos forces soutenons ce combat : les femmes ont le libre droit à la disposition de leurs corps.
Hors de question de repénaliser l’avortement ou de modifier la législation qui a dépénalisé l’avortement.
De tout cœur ce week-end aux côtés de ceux qui manifesteront à Bruxelles dans ce sens.
Pour toute info ou aide quelconque en la matière, je suis houssois et administrateur du centre laïque de planning familial Louise Michel à Liège. Licencié en psychologie, je suis astreint au secret professionnel le plus strict.
Amitiés
Jacques GLAUDE
16, rue del’No
4671 BLEGNY;